Friday, December 27, 2013

Existentialism and Science/L'Existentialisme et La Science

English:

After a renewed interest in existentialist philosophy as a field of exploring liberation on the individual scale, I have been contemplating the contradictions of following existentialism, which rejects the existence of god and order in human society, while also accepting modern notions of science. From the discoveries of neurobiology/neuropsychology that have major implications as to the biological origins of human action and choice to the discoveries of physics that have similarly major implications as to the structure of the universe, modern science almost leaves no room for choice or freedom as the power of human discovery is beginning to answer questions that previously seemed impossible. And yet the beauty of existentialism, particularly that of Sartre's, is its sole focus on society, it is not an ontological philosophy in the sense that it has answers for all questions about existence including natural phenomena, rather it is, as the title of Sartre's famous lecture states, a humanism. It is a philosophy that is not nihilistic or deterministic, it challenges humans to look at the freedom that they are "condemned" to and make with that freedom what they choose, and because of this it must only be seen as a humanism. The flip side to this is the beauty of science, which is that no matter how many brilliant physical or biological discoveries may be achieved the scientific method will always produce more questions. Like the Hegelian dialectic, science must always search for and analyze contradictions to established orthodoxy and must always be open to criticism that is supported by evidence. This inherent skepticism and openness to new interpretations means that science cannot and will not have all of the answers to the origins of all things, our universe is too vast and too complicated for a species on a single planet to know its entire foundations by itself. Science has complex and valid theories as to the physical origins of the universe, but it still has not answered the question of the origins of sentient life. Further, and most importantly, science does not deal with questions of meaning of existence, as such questions only philosophy can debate since it is a field that does not deal with concrete facts or figures and since the question of existence is one that cannot be dealt with in scientific analysis. This lack of ability of science to answer all questions means that humanity is free to choose how to construct its society, its culture, its values, and its actions. Existentialism remains a valid interpretation of human existence because of this freedom, science can continue to answer complex questions about the physical makeup of the natural world, but it can never tell humans why we exist.

Français:

Après un regain d'intérêt pour la philosophie existentialiste comme un champ d'exploration libération à l'échelle individuelle, j'ai contemplé les contradictions de l'existentialisme qui suit, qui rejette l'existence de Dieu et de l'ordre dans la société humaine, tout en acceptant les notions modernes de la science. Depuis les découvertes de la neurobiologie/neuropsychologie qui ont des implications importantes quant aux origines biologiques de l'action humaine et le choix pour les découvertes de la physique qui ont des implications majeures de même que la structure de l'univers, la science moderne ne laisse quasiment aucune place au choix ou liberté la puissance de la découverte humaine commence à répondre à des questions qui semblaient auparavant impossibles. Et pourtant, la beauté de l'existentialisme, en particulier celle de Sartre, est son seul objectif sur la société, ce n'est pas une philosophie ontologique dans le sens où il a des réponses à toutes les questions sur l'existence, y compris les phénomènes naturels, il s'agit plutôt, comme le titre de Sartre célèbres états de conférence, un humanisme. C'est une philosophie qui n'est pas nihiliste ou déterministe, elle conteste l'homme à regarder la liberté qu'ils sont «condamnés» à faire et avec cette liberté ce qu'ils choisissent, et de ce fait il ne doit être considéré comme un humanisme. Le revers de la médaille est la beauté de la science, qui est que peu importe combien de découvertes physiques ou biologiques brillants peuvent être obtenus de la méthode scientifique sera toujours produire plus de questions. Comme la dialectique hégélienne, la science doit toujours rechercher et analyser les contradictions à l'orthodoxie établie et doit toujours être ouvert à la critique qui est étayée par des preuves. Ce scepticisme inhérent et l'ouverture à de nouvelles interprétations des moyens que la science ne peut pas et ne sera pas encore toutes les réponses sur les origines de toutes choses, notre univers est trop vaste et trop complexe pour une espèce sur une seule planète de connaître l'ensemble de ses fondations par lui-même. La science a des théories complexes et valides que pour les origines physiques de l'univers, mais il n'a toujours pas répondu à la question des origines de la vie sensible. En outre, et surtout, la science ne traite pas des questions de sens de l'existence, comme des questions telles que la philosophie peut débattre car il est un domaine qui ne traite pas des faits ou des chiffres concrets et puisque la question de l'existence est celui qui ne peut pas être traitée avec une analyse scientifique. Ce manque de capacité de la science à répondre à toutes les questions qui signifie que l'humanité est libre de choisir la façon de construire sa société, sa culture, ses valeurs et ses actions. Existentialisme reste une interprétation valable de l'existence humaine à cause de cette liberté, la science peut continuer à répondre à des questions complexes sur la composition physique du monde naturel, mais il ne peut jamais dire pourquoi les êtres humains que nous existons.

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